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Fernand Icres

Autre bordésien célèbre né dans notre commune le 15 novembre 1856 ; il est l’auteur des vers qui marquent l’entrée de la grotte du Mas d’Azil :

« En vain le souvenir meurt dans le cœur des hommes ;

Sur le roc, par ces vers, je veux éterniser

Malgré le temps qui fuit et le peu que nous sommes,

Le parfum d’une fleur et l’émoi d’un baiser »

Son oeuvre :

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Les Fauves, poésies. Le Mitron. Tête et coeur. Pyrénéennes, par Fernand Crésy, Paris, A. Lemerre, 1880, 136 p. sur Gallica NUMM- 62456

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Les Farouches, poésies, 1886, (indiqué par le rapport de Catulle Mendès : " Le Mouvement poétique français de 1867 à 1900 "). Pas d’exemplaire localisé.

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Le Justicier (moeurs pyrénéennes)
Paris, J. Lévy, 1886, 271 p. sur Gallica NUMM- 64543

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Les Bouchers, drame en 1 acte, en vers, lettre-préface de Léon Cladel, Paris, Tresse et Stock, 1889, 42 p. sur Gallica NUMM- 62566

* Perle, roman, 1889 (indiqué par le rapport de Catulle Mendès : " Le Mouvement poétique français de 1867 à 1900 "). Pas d’exemplaire localisé.

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Le Café de l’Antre, roman, non publié

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Les Amours Baroques, prose, non publié.

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Les Féroces, poésies, volume annoncé comme étant en préparation en 1886.

(pseudonyme : Fernand Crésy) il est mort en 1894.